Un petit Résumé:
C’est l’histoire d’une jeune fille timide, dont le père décide d’en faire une bagarreuse, parce qu’il faut se défendre dans la vie. Elle devient Coud’boule, une vraie dure, qui écrase tout sur son passage. Jusqu’à ce qu’un jour, tout bascule et que les ombres surgies de la nuit reprennent leurs droits pour lui faire rêver l’histoire fantastique d’une jeune femme contrainte d’épouser un monstre sanguinaire, le serial killer des contes. Elle seule peut aider Barbe bleue à retrouver sa part de lumière. Quand elle reprend ses esprits, l’héroïne redevient maîtresse de ses peurs et de ses désirs, maîtresse de son destin.
Parce que même s’il y a mille raisons d’être violent, il y a aussi une autre voie, celle de la liberté. Celle où la bête nous laisse tranquille parce qu’on la connaît et qu’elle ne nous fait plus peur.
Un mot:
« Mi-ombre, mi-lumière, Elodie Mora touche les spectateurs en plein coeur, que ce soient les adolescents ou bien les adultes, ces vieux enfants. Dans Barbe Blues, la conteuse décline le verbe aimer à tous les temps : celui de la peur, celui du désir, celui de l’humour, celui de la fragilité… Son personnage conjugue pour nous le verbe être à toutes les personnes : je, tu, il ou elle… île ou ailes ? Telle est la question de Coud’Boule ! »
Gigi Bigot